Omega aux JO de PyeongChang

Pour la 28e fois de son histoire, Omega a endossé le rôle de chronométreur officiel des Jeux olympiques qui se sont tenus du 9 au 25 février à PyeongChang, en Corée du Sud. Afin de mener à bien son important rôle de «juge du temps», 300 techniciens et 350 volontaires spécialement formés étaient présents.

De plus, 230 tonnes de matériel, dont 30 panneaux d’affichage publics et 90 panneaux de compétition, sans oublier plusieurs dizaines de kilomètres de câbles et de fibre optique, ont été acheminés et installés.

Grâce à des détecteurs de mouvements, Omega a suivi l’intégralité des épreuves, du début à la fin, permettant ainsi aux athlètes de connaître immédiatement leurs résultats. Vitesse réelle d’un skieur alpin ou positionnement des joueurs d’une équipe de hockey, les informations fournies ont ajouté une nouvelle dimension à chaque épreuve. Elles ont également permis aux spectateurs, qu’ils soient dans les stades ou sur leur canapé, de s’imprégner en détail des caractéristiques techniques de chaque sport. C’est la première fois que de telles données étaient instantanément accessibles lors des Jeux olympiques.

Durant ces JO, Omega a utilisé - spécifiquement lors des compétitions de ski alpin, patinage artistique, half-pipe et des épreuves de saut - la technologie Stromotion qui morcelait l’action en sections et analysait chaque phase de plus près. Les vidéos des trajectoires révélaient l’évolution des mouvements ou de la technique d’un athlète afin de mieux apprécier sa performance.

Autre grande innovation qui a changé le paysage du chronométrage, le Simulcam. Ce système a apporté une nouvelle dimension au replay de nombreuses épreuves, comme celles du ski alpin, bobsleigh, skeleton, luge, saut à ski et combiné nordique. En superposant les images d’un athlète à celles d’un autre, il était ainsi possible de comparer leurs techniques et leurs performances.

01.3.2018