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Pour célébrer son 160e anniversaire, Zenith rend hommage à son riche héritage avec un modèle intemporel, animé par un mouvement d’exception. La G.F.J., dont le nom reprend les initiales de Georges Favre-Jacot, fondateur de la maison, incarne l’élégance et la sobriété d’un design épuré. Elle redonne vie au mythique calibre 135, le mouvement le plus primé de l’âge d’or des concours de chronométrie des observatoires.
Dès 1897, Zenith s’engage dans la quête de précision et se forge une réputation inégalée. Au fil des décennies, ses mouvements remportent un record absolu de 2’333 prix de chronométrie, un exploit sans équivalent dans l’histoire de l’horlogerie. Parmi ces distinctions, un mouvement brille plus que tous les autres, le mythique calibre 135.
Aujourd’hui, la maison locloise redonne un nouveau souffle à ce concentré technique en le réimaginant avec une approche contemporaine. Son architecture et son esthétique restent fidèles à l’original, mais son ingénierie a été entièrement repensée pour l’adapter aux standards horlogers exigeants du 21e siècle. Parmi les évolutions majeures, la roue de centre décalée libère l’espace nécessaire pour un balancier surdimensionné, améliorant précision et stabilité.
Ce mouvement anime la nouvelle G.F.J. Logée dans un boîtier en platine de 39 mm, rond et élancé, elle se distingue par une lunette étagée et des cornes incurvées à paliers, offrant une silhouette fine et sculpturale. Son profil délicat est sublimé par un jeu de finitions contrastées, alternant surfaces brossées et polies.
Sous son verre saphir bombé, ce garde-temps révèle un cadran bleu profond, couleur emblématique de la manufacture, symbolisant son lien avec le ciel et sa quête perpétuelle de précision. Sa construction en trois parties crée une impression de profondeur captivante, tandis que chaque élément, méticuleusement travaillé, lui confère une élégance raffinée.
Sur l’anneau extérieur, un guilloché «brique» rend hommage à la façade iconique de la manufacture du Locle. Des index facettés en or blanc ponctuent l’ensemble, accompagnés d’un discret chemin de fer composé de 40 perles en or blanc, appliquées à la main. La partie centrale, réalisée en lapis-lazuli bleu profond, est traversée de fines incrustations de pyrite dorée, évoquant naturellement un ciel étoilé. Chaque cadran est unique, marqué par les nuances et les textures naturelles de cette pierre précieuse. Enfin, à 6 heures, le grand compteur des secondes en nacre apporte une touche de douceur et d’éclat.
Ce garde-temps, limité à 160 exemplaires, s’accompagne de trois bracelets interchangeables.
15.5.2025