Un nouvel Ulysse au secours des océans

Dan Lenard

Un nouvel explorateur a rejoint l’équipage d’Ulysse Nardin.

Dan Lenard, cofondateur du célèbre studio de conception de yachts italien Nuvolari-Lenard, tente une aventure audacieuse: une traversée transatlantique qui a commencé le 20 janvier à Cadix, en Espagne, et qui s’est achevée autour du 14 février au Miami Boat Show, dont la marque est l’un des principaux sponsors. Spécialisé dans la conception de navires pour clients privés et chantiers navals, le studio vénitien a imaginé certains des super-yachts les plus célèbres au monde, remportant les grands prix majeurs du secteur.

L’objectif de cette odyssée était de sensibiliser à la situation déplorable des océans. Dan Lenard s’est tourné vers la navigation car il s’agit d’un moyen autrefois utilisé pour explorer la Terre. Aujourd’hui, son voyage lui a permis de faire le point sur l’état de pollution actuel des mers et des littoraux. Ulysse Nardin est fier de soutenir Dan Lenard dans sa mission, qu’il a baptisée «Vela-Code». Pour cet Ulysse des temps modernes, c’est un «signal de détresse au nom de l’océan» car nous devons complètement changer notre comportement à l’égard de notre environnement. Il nous faut développer des initiatives de prévention et de traitement ciblées: les premières en concevant des yachts de manière intelligente et en faisant de la sensibilisation afin de souligner les activités et habitudes dommageables; les secondes en assumant la responsabilité de nos actes et en allouant des ressources à la réparation des dégâts causés.

Dan Lenard rejoint l’Armada d’explorateurs d’Ulysse Nardin, aux côtés de l’apnéiste et photographe Fred Buyle, des navigateurs Sébastien Destremau et Romain Pilliard, du snowboarder et surfer Mathieu Crépel et du champion de kitesurf Alex Caizergues.

Au cours de ce périple, le véritable défi de Dan consistait à naviguer seul sur son voilier de 10 mètres, le SCIA, dépourvu de tout équipement. Il ne bénéficiait aucunement du concours d’un moteur, de matériel électronique, d’un GPS, d’un journal de bord, d’une boussole ou d’un pilote automatique. Le seul accessoire à l’accompagner dans cette expédition solitaire: la montre qu’il portait au poignet, une Ulysse Nardin Diver Chronometer Great White.

21.2.2019