Louis Moinet en mémoire d'Apollo-Soyouz

Dans la lignée de SpaceWalker, le tourbillon satellitaire dédié à la mission spatiale de 1965 d’Alexeï Leonov, Louis Moinet dévoile une deuxième création qui relate l’autre grande aventure de l’astronaute russe, menée en 1975: Apollo-Soyouz.

Il s’agit de la première mission spatiale commune entre l’Union Soviétique et les Etats-Unis d’Amérique. Soyouz 19 part du Cosmodrome de Baïkonour, Apollo de Cape Canaveral en Floride, se rejoignant pour le premier rendez-vous spatial de l’humanité.

Les amateurs d’Histoire comme de conquête de l’espace auront remarqué l’anomalie. Apollo est un nom de code spatial des Etats-Unis, Soyouz de l’ex-URSS. En 1975, le monde est plongé dans la Guerre froide. Les deux blocs s’affrontent à tous les points de vue, notamment dans une course effrénée de conquête de l’espace. Comment les deux ennemis autoproclamés ont-ils pu sceller une alliance au beau milieu d’un de leurs théâtres d’affrontement? C’est là qu’Alexeï Leonov est entré en scène.

L’astronaute va changer la face du monde le 17 juillet 1975 à 19h20. A cet instant précis, seule l’écoutille de Soyouz 19 le sépare d’Apollo, les deux vaisseaux étant arrimés dans l’espace. En déverrouillant la trappe, Alexeï Leonov ouvre un monde nouveau, de paix et de coopération, et sa première poignée de mains interstellaire avec le commandant Thomas Stafford restera gravée à tout jamais.

C’est cette conquête spatiale, mais avant tout humaine, que Louis Moinet est fier de célébrer avec ce garde-temps nommé Skylink, comme ce lien qui s’est subrepticement tissé entre deux hommes, représentant leur nation, au beau milieu de l’espace. Cette série très limitée, portée par un bracelet bleu nuit ou noir, est composée de 19 pièces en or blanc, 19 en or rose et 75 en acier, en hommage à l’année 1975 durant laquelle s’est déroulée la mission Apollo-Soyouz. Chacune d’elle reproduit sur son cadran l’authentique signature d’Alexeï Leonov.

08.5.2018