Chopard confectionne à nouveau la Palme d’or

Partenaire officiel du Festival de Cannes depuis 1998, Chopard confectionne chaque année l’ensemble des récompenses décernées lors de cet événement mondial, dont la plus prestigieuse d’entre elles la Palme d’or. Cette distinction absolue, qui sacre le bijou cinématographique sélectionné par le jury, est à l’image des chefs-d’œuvre qu’elle couronne: réalisée avec patience et précision par les mains expertes d’artisans d’art.

Caroline Scheufele, coprésidente et directrice artistique de Chopard, a souhaité que la récompense la plus prisée du septième art soit à la hauteur de ce qu’elle représente. Ce trophée est donc entièrement confectionné en or éthique certifié Fairmined, une caractéristique unique qui le distingue parmi les autres récompenses décernées dans le monde cinématographique.

De la même manière que la beauté d’un scénario se construit au sein d’une mosaïque de fenêtres offrant différents éclairages et perspectives possibles, la confection de la Palme d’or s’élabore dans le somptueux ballet de gestes multiples et patients, déroulés sur le fil d’une incompressible procession d’étapes et de mouvements. 

Pas moins de 70 heures d’ouvrage sont nécessaires à la réalisation de la Palme d’or au sein des ateliers de la maison. Elle est confiée à un même joaillier qui, tel un chef-d’orchestre, garantit la cohérence tout au long de ce processus dans lequel interviennent six artisans d’art: 118 grammes d’or éthique certifié Fairmined, un label garantissant qu’il a été extrait dans le respect des plus hauts standards d’éthique sociale et environnementale.

De la préparation, cruciale, du moule élaboré dans les règles de la technique dite de «fonte à cire perdue» au métal en fusion dans un four à 900 degrés - au cœur même de la fonderie de la manufacture - jusqu’aux différentes étapes d’ébarbage, de nettoyage, de polissage, de montage, c’est un véritable chapelet de techniques et de gestes d’une grande dextérité qui se succèdent pour donner naissance à la Palme d’or. Parvenant ainsi, par leur symbiose, au parfait alignement de la forme et du fond: un objet d’art qui constitue en lui-même la plus précieuse des distinctions existantes dans le monde cinématographique.

Cette année, la Palme d’or a été remportée par Sean Baker, réalisateur et scénariste américain, pour son long-métrage Anora, un thriller new-yorkais qui passe des bas-fonds aux villas de luxe des oligarques russes.

13.6.2024