News Il y a bientôt trois siècles, Pierre Jaquet Droz émerveillait les cours royales d’Europe en présentant ses trois fameux automates. L’Ecrivain était le plus étonnant, puisqu’il était possible de programmer la phrase qu’il allait rédiger d’une écriture cursive. Cette année, Jaquet Droz dévoile la «Machine à signer», un automate de son temps reprenant en version XXS la technique historique des cames. Il a la taille du plus emblématique des objets de ce début de millénaire: le smartphone.
Sécurisée grâce à un code à quatre chiffres, remontable à l’aide d’un mécanisme manuel, la «Machine à signer» est usinée sur mesure pour son propriétaire. Deux simples pressions du doigt suffisent à libérer un bras articulé et un jeu de cames réalisé à la main afin de reproduire une écriture liée et naturelle, l’automate reproduit à l’identique la signature de son détenteur. Une performance à admirer à travers une fenêtre transparente dévoilant le mécanisme.
29 avril 2014
